Qu’est-ce qui est le plus dur pour un auteur de science-fiction moderne ? Sans doute imaginer un scénario auquel ses prédécesseurs n’ont pas déjà pensé. Car reconnaissons qu’après des décennies de nouveautés, les récits actuels ont souvent un air de déjà-vu. C’est pourquoi j’ai été intéressé par Janus, particulièrement original à en croire le résumé en quatrième de couverture.
Après les livres, les films et les expositions, une critique de bande dessinée, support idéal pour la science-fiction s’il en est. Pour un inconditionnel de Blake et Mortimer comme de Yoko Tsuno, il fallait bien faire de temps en temps une incursion dans les petites cases à bulles.
Voir un film plusieurs fois, c’est parfois un moyen de mieux l’apprécier. C’est ce que j’ai ressenti en revoyant hier Edge of Tomorrow, sorti l’été dernier, et dont le premier visionnage m’avait déçu au point de renoncer à en faire une critique.
Après la lecture de Nexus et Zone de guerre , continuons sur le thème de la manipulation du cerveau humain avec Zendegi, de Greg Egan. Greg Egan est un romancier australien né en 1961, et informaticien de formation. Comme Stephen Baxter, il est spécialiste de la « hard SF » , une branche de la science-fiction qui s’appuie sur des découvertes réelles pour rendre le récit plausible.
Un mélange de soldats, de SF et de futur, ça vous dirait ? C’est ce que propose Zone de guerre (en VO : Embedded), le dernier roman de Dan Abnett. Je ne connaissais pas cet auteur britannique, mais une petite recherche sur son nom a fait revivre une foule incroyable de souvenirs. Car Abnett est, entre autres, connu pour ses romans basés sur l’univers de Warhammer.